Haïti brûle pendant que le monde regarde : l’incompétence au prix de vies humaines

Haïti n’est pas seulement frappé par le climat, il est écrasé par l’incompétence de ses dirigeants et l’indifférence du monde. Chaque ouragan, chaque inondation révèle une vérité crue : l’État haïtien est incapable de protéger ses citoyens. 680 000 enfants déplacés après des inondations récentes ? Une honte qui crie la faillite de la gouvernance.

Ouragans et inondations : un massacre prévisible
L’ouragan Matthew (2016) a fait plus de 500 morts et laissé derrière lui 2,8 milliards de dollars de pertes. Aujourd’hui encore, les mêmes erreurs se répètent : zones côtières abandonnées, familles exposées, alertes ignorées. La communauté internationale déverse des millions en promesses, mais les résultats ? Des chiffres catastrophiques et des vies brisées.

Pauvreté et famine : le peuple pris en otage
L’agriculture, source de subsistance de plus de 60 % des Haïtiens ruraux, s’effondre sous la sécheresse et les inondations. Les familles fuient vers des quartiers surpeuplés comme Cité Soleil ou Fourgerolle, où l’eau potable et les soins sont un luxe. L’État reste passif, l’ONU observe, et le peuple continue de crever de faim. C’est une trahison systématique des droits fondamentaux.

Santé et éducation : sacrifiées sur l’autel de l’inaction
Choléra, dengue, maladies infectieuses… Les épidémies se multiplient dans un pays où les écoles détruites deviennent refuges temporaires. Chaque enfant privé d’éducation est une génération volée. Les autorités ferment les yeux, et la communauté internationale ferme encore plus fort ses poches. Les conséquences ? Des vies brisées et des espoirs anéantis.

Aide internationale : des millions pour l’inefficacité
L’UNICEF, la Banque Mondiale et autres organismes dépensent des millions, mais la vérité est brutale : 680 000 enfants déplacés restent le bilan effrayant d’une aide inadaptée. Pendant ce temps, les projets ponctuels remplacent une stratégie réelle. Les dirigeants haïtiens et leurs “alliés” internationaux sont responsables d’un désastre qui aurait pu être évité.



Haïti au bord du gouffre : agir ou disparaître
Le pays n’a plus le droit à l’inaction. Les infrastructures doivent être modernisées, l’agriculture rendue résiliente, et les populations protégées. Chaque tempête est un avertissement clair : les autorités haïtiennes ont échoué, le monde a failli, et le peuple continue de payer le prix de cette indifférence.

Haïti n’attend plus : il faut agir maintenant ou accepter que des générations entières soient sacrifiées. Le temps des excuses est terminé.

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