47 policiers morts : BINUH, 45 millions de dollars, rien que des rapports

Le BINUH doit rendre des comptes. Le peuple haïtien mérite des actes, pas des rapports.

47 policiers tués depuis janvier 2025. Chaque mort est un avertissement ignoré. Haïti se vide de ses défenseurs tandis que la mission onusienne censée soutenir la sécurité du pays, le BINUH, se limite à rédiger des rapports et à organiser des réunions diplomatiques.

Selon les documents officiels de l’ONU, le BINUH dispose d’un budget annuel de 40 à 45 millions de dollars, destiné à renforcer la PNH, stabiliser le pays et conseiller les autorités. Pourtant, aucune amélioration concrète n’est visible : les gangs progressent, les policiers manquent de ressources, et la violence s’étend.

Des rapports copiés-collés pour masquer l’inaction

Chaque année, le BINUH publie des rapports répétant :

“Les gangs progressent.”

“La situation sécuritaire se dégrade.”

“Il faut renforcer la PNH.”


Mais aucune action n’est entreprise. Les policiers tombent, et Haïti continue de payer le prix fort. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 47 morts en moins d’un an.Un pays abandonné, une mission inactive.
Le BINUH observe depuis ses bureaux, ses véhicules blindés et ses hôtels climatisés. Pendant ce temps :

La PNH affronte seule des groupes armés organisés. Des quartiers entiers tombent sous le contrôle des gangs. Les familles des policiers tués n’ont aucun soutien tangible. Il est temps d’agir


Haïti n’a plus besoin d’observateurs. Elle exige des mesures concrètes :

1. Une enquête internationale sur la gestion de la sécurité et la protection de la PNH.

2. Des ressources et un soutien opérationnel immédiats pour les policiers sur le terrain.

3. Une pression réelle de la communauté internationale pour obliger les institutions à agir.

Le BINUH doit rendre des comptes. Le peuple haïtien mérite des actes, pas des rapports.

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